Questions du public (pour les questions ne figurant pas à l’ordre du jour)
Merryl Hammond : question relative au suivi de la demande des citoyens d’investir dans un terrain de pickleball permanent, car une grande partie de la communauté pratique ce sport et l’utilise tout au long de l’année. La mairesse Ektvedt a répondu que cela avait été discuté avec le conseil dans le cadre du Notes sur la réunion du Conseil tenue le 9 décembre 2025
budget et du PTI de l’année prochaine, mais que tant que le budget n’était pas approuvé, aucune information ne pouvait être communiquée. Le budget de cette année sera approuvé en janvier plutôt qu’en décembre, car c’est une année électorale et que le budget et la contribution de l’agglomération de Montréal ne seront disponibles qu’en janvier et constituent une partie importante du budget de Baie-D’Urfé.
- Classen a également abordé la question du pickleball (avec la même réponse).
Aria Campbell-Kelly a soulevé des questions et des observations concernant la forêt de Surrey, où des coupes importantes ont été effectuées, ainsi que la compression des racines due au passage ou au stationnement d’engins lourds sur les zones racinaires. Des questions ont également été soulevées concernant les arbres sains, le nerprun non éliminé et le manque de communication avec les citoyens au sujet de ce projet, ainsi que l’absence de réponses aux questions. La mairesse Ektvedt a répondu qu’une présentation très détaillée allait être faite au cours de cette session par un ingénieur forestier, qui devrait répondre à la plupart des questions. Le directeur général a indiqué que les travaux d’abattage étaient terminés du côté ouest.
Rapport du SPVM – Le commandant Gosselin a parlé de l’annonce faite par le SPVM dans les médias concernant le nombre élevé de cambriolages dans l’ouest de l’île et des mesures à prendre pour assurer la sécurité des maisons et communiquer avec la police afin d’aider les enquêtes. Il a mentionné que les enquêtes avaient considérablement progressé grâce aux informations fournies par les citoyens sous forme d’appels, de vidéos, de photos et d’autres renseignements. Cela a été essentiel pour aider la police dans ses enquêtes.
Il a également souligné que notre quartier n’avait pas été touché par autant de cambriolages que d’autres quartiers et que la plupart des cas se situaient autour de l’autoroute 40 et moins dans le sud.
Il a réitéré que les gens ne devaient pas hésiter à appeler le 911 (il y a un triage) et que souvent, de petits détails peuvent mener à des informations qui permettent de reconstituer le puzzle.
Le conseiller Pagé a posé une question sur la création d’un registre des caméras vidéo privées. Le commandant Gosselin a mentionné que les images vidéo sont déjà utilisées, que certaines entreprises fournissent également un accès à la police et qu’avec l’aide d’un logiciel d’intelligence artificielle, cela réduit le temps nécessaire pour analyser le contenu vidéo et extraire les données importantes.
La mairesse Ektvedt a également évoqué un événement très triste impliquant une personne sans domicile fixe, où tout le monde avait travaillé en équipe pour résoudre le problème. Elle a demandé aux gens de contacter la ville plus tôt afin que des mesures puissent être prises pour aider les personnes dans le besoin (en particulier pendant les froids hivers).
Rapports des conseillers municipaux
Conseiller Brown : a présenté le rapport de l’équipe de sauvetage de Baie-D’Urfé : 748 heures de bénévolat ce mois-ci. Quatre nouveaux membres ont suivi la formation de premiers intervenants de la Croix-Rouge. Assistance pour une défaillance de pompe de puisard lors d’une panne de courant sur Oakridge. Soutien lors de divers événements communautaires. La partie d’huîtres a permis de collecter des fonds et a été un succès. Exercice de sauvetage à l’arboretum Morgan avec plusieurs organisations, dont l’unité canine K9, dont les chiens ont été tout simplement incroyables. Nova a reçu le don généré par l’exposition de voitures anciennes.
Rapport de la mairesse
La mairesse Ektvedt a rencontré l’agglomération de Montréal avec de nombreux nouveaux maires. Réunion à la Chambre de commerce avec la STM, l’ARTM et REM étant donné que le REM arrivera à la station l’Anse-à-l’Orme. Le message a été transmis et entendu : les citoyens des quartiers sud comme Baie-D’Urfé, Beaconsfield, etc. ont toujours besoin du réseau de trains et d’autobus existant pour se déplacer, car le REM n’est pas à proximité. La mairesse a réitéré qu’il fallait agir rapidement lorsque l’on rencontre des personnes dans le besoin (comme récemment le sans-abri) et que la collecte de denrées alimentaires a été un succès (et qu’il serait bien d’avoir un flux continu pour aider les personnes dans le besoin).
Enfin, la mairesse a fait part de sa tristesse et présenté ses condoléances pour la perte de notre ancien conseiller Stephen Gruber, qui manquera à tous.
Directeur général – aucun
Correspondance
Lettres (3) concernant l’abattage d’arbres dans les zones boisées de Surrey Ouest et Est. Les points soulevés étaient ceux abordés lors de la période de questions, à savoir : la densité forestière antérieure offrait une certaine barrière acoustique qui a désormais disparu, et le niveau de bruit a augmenté. La biodiversité a diminué. La communication a gravement fait défaut tout au long du processus et aucun plan n’a été communiqué aux citoyens. Les courriels adressés au conseil municipal sont restés sans réponse.
La mairesse Ektvedt a répondu que lorsque de la correspondance est envoyée au conseil municipal, celui-ci doit d’abord en discuter et se mettre d’accord sur une réponse, ce qui prend plus de temps qu’une communication individuelle. Cependant, la communication aurait pu et aurait dû être meilleure et plus proactive. La présentation devrait, espérons-le, répondre à bon nombre des questions et des points soulevés. Il convient également de noter que l’approche adoptée pour un seul ou quelques frênes morts n’est pas la même que lorsque 300 frênes meurent et que la nature et la forêt ne peuvent pas se régénérer naturellement.
Administration
Présentation par un ingénieur forestier concernant le programme de sécurité et de restauration des bocages de frênes (déposée). La présentation complète mérite d’être lue et écoutée. Elle est disponible sur la page Développement du site web de la ville (lien vers le PDF et la vidéo ci-dessous) :
Town of Baie-D’Urfé – Development projects
Présentation_BaiedUrfé_conseil_municipal_20251209_(1).pdf
2025-12-09_Présentation_BaiedUrfé – Baie-D’Urfé – Chaînes – WEBTV.COOP
Guillaume Sainte-Marie est un ingénieur forestier titulaire d’un doctorat qui a participé à de nombreux projets similaires. Quelques points à prendre en considération dans le cas de vastes zones où tous les frênes meurent (ou d’autres espèces comme l’orme hollandais) : le taux de mortalité normal de 120 ans dans les forêts est d’environ 4 %, alors que dans de tels cas, le taux sur 7 ans est de 72 % ! Lorsqu’une forêt entière est en grande partie détruite, elle laisse passer davantage de soleil et les espèces envahissantes prennent le dessus. Cela signifie que la forêt ne se régénérera pas naturellement et qu’un programme de reboisement et d’entretien doit être mis en place.
Après le nettoyage (abattage et élimination d’autant d’espèces envahissantes que possible), il est prévu de planter une variété d’arbres (qui ne survivront pas tous). Il s’agira notamment de conifères, de 19 arbres indigènes et de 18 espèces d’arbustes. Les arbres mesureront environ 1 mètre de haut et les arbustes 50 cm afin d’optimiser leur taux de survie. 50 % seront des espèces à croissance rapide. La plupart atteindront environ 7 mètres après 7 ans. La plantation commencera au printemps et un programme d’entretien sera mis en place. Dans certains cas, des chicots seront laissés sur place pour la faune sauvage. Les travaux seront effectués en dehors de la période de nidification. Les habitats doivent être biodiversifiés (sinon, la faune sauvage ne fait que passer et ne les utilise pas comme lieux de nidification).
« Une fois dégradées, les forêts ne peuvent plus se régénérer, lorsqu’elles ont dépassé le point de non-retour ».
La forêt nécessitera un entretien régulier tous les 3-4 ans. Le statu quo n’est pas une option. Le nerprun n’est pas nutritif pour la faune sauvage et est envahissant, prenant le dessus sur la zone forestière.
Nous encourageons tous les citoyens à prendre le temps d’écouter la présentation.
Réaffirmation du statut bilingue de la Ville.
Approbation du contrat WebTV pour 2026 : 27 364 $.
Attribution des services d’approvisionnement pour le soutien aux communications : Agence Caza : 49 295 $.
Refonte du site Web de la Ville : 60 729 $.
Report du registre des déclarations de divulgation concernant les cadeaux, les marques d’hospitalité et autres avantages pour l’année 2025.
Finances
Approbation des dépenses de 641 997 $.
Parcs, loisirs et environnement – aucun
Sécurité publique et circulation – aucun
Travaux publics et infrastructures municipales – aucun
Urbanisme
Adoption du règlement 1117 constituant le TPAC. Approuvé.
Services aux citoyens et affaires communautaires
Programme de soutien à l’excellence approuvé :
Zi Han Peng 200 $
Don en mémoire de Stephen Gruber – 150 $ Médecins sans frontières.
Période de questions (pour les points à l’ordre du jour)
Stefan Kufylowicz : la communication est essentielle et l’exemple d’Hydro, qui arrive sans prévenir et commence à abattre des arbres de grande taille de manière drastique, sans se soucier de leur survie, pose un énorme problème. La raison invoquée est qu’ils ne reviendront pas avant 4 à 5 ans pour leur « entretien annuel » et qu’ils procèdent à un abattage excessif sans communication ni discussion. Il serait important que la ville demande à Hydro de venir chaque année et d’adopter une approche différente.
Aria Campbell-Kelly a réitéré la nécessité d’améliorer la communication. Envoyer une lettre aux citoyens quelques heures avant la fermeture de l’administration municipale le vendredi, sans possibilité de poser des questions ou d’obtenir plus d’informations, n’est ni acceptable ni réaliste. Elle a également soulevé la question du drainage qui pourrait exister sous cette zone proche de l’autoroute et a demandé si les plans et les emplacements étaient connus afin d’éviter tout dommage ou intrusion de racines. Elle a également posé des questions sur une communication du passé lors de la tempête de verglas, au cours de laquelle un arbre dangereux était tombé, et on lui avait répondu que l’approche consistait à laisser la nature suivre son cours. Réponse : en général, le protocole entre les espaces verts sauvages et les parcs est différent et les premiers sont normalement laissés à eux-mêmes, sauf pour des questions de sécurité. Dans ce cas, le nombre de frênes morts est trop important pour les laisser tels quels et espérer qu’ils se régénèrent. Compte tenu de l’étendue des arbres morts et de l’envahissement par le nerprun, il n’est pas réaliste de simplement remplacer la zone sauvage par une forêt de nerprun. DG a également ajouté qu’au moment de la tempête de verglas de 2023, notre personnel n’était pas certifié arboriculteur (ce qu’elle est devenue depuis) et qu’une approche différente est donc adoptée aujourd’hui.
La mairesse Ektvedt a également ajouté que la stratégie de communication n’avait en effet pas été optimale et que cela serait corrigé et pris en compte à l’avenir pour de tels projets.
La réunion a été levée.
